Nous  nous contentons ici d’introduire le sujet  par cet article de quatre chercheurs espagnols dans une revue des industries chimiques. En toute première approche on comprend que l’origine naturelle de ces produits n’est  en aucune façon la garantie de leur innocuité. Par ailleurs les firmes sont assez réticentes à s’y intéresser car les procédures d’agrément sont aussi lourdes que pour des produits de synthèse.

Tout cela mérite d’être creusé mais ce n’est pas une mince affaire les règlements de 283 et 284/ 2013 représentent la lecture de # 150 pages !!

Le présent post doit donc être considéré comme un appel à projets pour la constitution d’un groupe de travail au sein de l’association. D’une façon générale, il apparaît extrêmement nécessaire de clarifier nos compétences sur les frontières entre les intrants, les biopesticides, les produits phytosanitaires classiques, les fertilisants…..


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