Horticultural Entomology
Journal of Economic Entomology, XX(X), 2018, 1–8
doi: 10.1093/jee/toy065
Improvements in Rhynchophorus ferrugineus (Coleoptera: Dryophthoridae) Trapping Systems
Vicente Navarro-Llopis, Jaime Primo, and Sandra Vacas1
Centro de Ecología Química Agrícola – Instituto Agroforestal del Mediterráneo. Universitat Politècnica de València, Camino de Vera
s/n, edificio 6C, 46022 Valencia, Spain, and 1Corresponding author, e-mail: sanvagon@ceqa.upv.es
Subject Editor: Joseph Munyaneza
Received 25 October 2017; Editorial decision 17 February 2018
Abstract
Improved trap efficacy is crucial for implementing control methods for red palm weevil, Rhynchophorus ferrugineus (Olivier; Coleoptera: Dryophthoridae), based on trapping systems, such as mass trapping, attract and infect or attract and sterilize techniques. Although new trap designs have been proposed and aggregation pheromone dispensers have been optimized, aspects such as the use of co-attractants (molasses) and trap placement are still not well defined and standardized. The efficacy of three concentrations of molasses and different formulations to
reduce water evaporation in traps was studied in different field trials to improve trapping systems and to prolong trap servicing periods. In addition, the performance of installing groups of traps or single traps was also evaluated with the aim of improving the attracted/captured weevils ratio. Our results showed that captures increased when molasses were added at 15% to the water contained in the trap and that a thin layer of oil, created by adding 2–3% of paraffinic oil to water, was able to effectively reduce evaporation and prolong trap servicing periods. Moreover, 3.5-fold more weevils were captured when placing five traps instead of one at the same trapping point. Results obtained allow improved efficacy and may have an impact in the economic viability of trapping systems and, therefore, in integrated pest management programs.
Key words: red palm weevil, palm tree, trap, monitoring, mass trapping
Trés intéressant article, qui rejoint notre conviction que le piégeage peut-être encore amélioré. On y relève notamment que mettre entre 3 et 5 pièges au lieu d’un seul améliorerait considérablement le taux de capture. L’accés à cet article est payant 35 €. Cependant les scientifiques espagnols qui sont extrêmement coopératifs nous ont offert un accès, il ne serait pas fair de le mettre en accés sur notre site, ce qui n’interdit pas à nos adhérents les plus concernés de prendre contact avec nous pour des commentaires libres ou le lien de téléchargement. Au fil de la lecture on peut dire que les piéges doivent être mis à l’ombre, nous l’avions déjà constaté. Il faut que les réservoirs soient plein d’eau dans laquelle il convient ajouter de huile de paraffine ou du glycol pour ralentir l’évaporation. Les auteurs préconisent en outre l’adjonction de mélasse de betteraves à hauteur de 15 % ainsi que d’un hachis de palmes vertes. Nous sommes réservés dans la mesure où cette bouillie a tendance à pourrir ce qui augmente la charge maintenance. Les auteurs préconisent aussi l’adjonction à hauteur de 15 % de mélasse de betterave et d’un hachis de palme verte. Sommes plutôt réservés car la bouillie ainsi fabriquée a tendance à pourrir. On reparle de tout cela dans les jours prochains avec les ingénieurs de M2I LS.
Traduction de l’abstract :Olivier ; Coleoptera : Dryophthoridae), basé sur des systèmes de piégeage, tels que le piégeage de masse, attirent et infectent ou attirent et stérilisent les techniques. Bien que de nouveaux modèles de pièges aient été proposés et que les distributeurs de phéromones d’agrégation aient été optimisés, des aspects tels que l’utilisation de co-attractants (mélasse) et le placement des pièges ne sont pas encore bien définis et normalisés. L’efficacité de trois concentrations de mélasse et de différentes formulations pour réduire l’évaporation de l’eau dans les pièges a été étudiée dans différents essais sur le terrain pour améliorer les systèmes de piégeage et prolonger les périodes d’entretien des pièges. De plus, la performance de l’installation de groupes de pièges ou de pièges individuels a également été évaluée dans le but d’améliorer le rapport charançons attirés / capturés. Nos résultats montrent que les captures augmentent lorsque la mélasse est ajoutée à 15% à l’eau contenue dans le piège et qu’une fine couche d’huile, créée en ajoutant 2 à 3% d’huile paraffinique à l’eau, réduit efficacement l’évaporation et prolonge le piège périodes d’entretien. De plus, 3,5 fois plus de charançons ont été capturés en plaçant cinq pièges au lieu d’un au même point de piégeage. Les résultats obtenus permettent d’améliorer l’efficacité et peuvent avoir une incidence sur la viabilité économique des systèmes de piégeage et, par conséquent, sur les programmes de lutte antiparasitaire intégrée.
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