Cet article, issu de notre recherche documentaire, tombe en quelque sorte à point nommé.

 En effet, on assiste à une sorte de renouveau dans les attaques du CRP contre lesquelles il faut très rapidement se mobiliser.
Nous ne voulons pas ouvrir à nouveau le débat sur » injection pas injection » dans le palmier ! mais il est difficile de contester les effets secondaires de cette thérapie végétale.
Il faut donc améliorer les moyens de lutte complètement biologiques.

 le piégeage qu’il faut délibérément amplifier par des densités plus importantes de pièges en variant les modèles ( multi funnel trap, picusan ) et peut-être d’autres demain, issus de la recherche appliquée.

 les phéromones il faut délibérément passer à trois recharges par an ( surcoût de 30 € dérisoire)

–  Les nematodes Steinernema carpocapsae hors saison d’été.  Bien lessiver le cœur du palnier le soir avant mise en place.

 l’utilisation de souches du champignon Beauveria Bassiana ( ou Metarhizium anisopliae) dont l’efficacité et la persistance peuvent être augmentées par des dispositifs d’autodissémination qui ont fait leurs preuves dans la lutte contre différents groupes d’insectes (VEGA et al., 1995). Le succès du système d’auto-infection dépend de la virulence et de la persistance de la souche entomopathogène, et de l’efficacité de l’autodisséminateur à attirer l’insecte cible et à lui transmettre l’inoculum.

S’ouvre donc pour nos adhérents une forme de concours Lépine et nous les remercions de nous faire partager leurs expériences. Certains membres du bureau sont déjà l’ouvrage, car ils s’affairent aussi à la fabrication sur les conseils de la LPO de nichoirs tous différents pour la faune aviaire.

C’est très enthousiasmant d’agir dans une démarche commune de protection de la biodiversté.

 


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