On commence à avoir les idées plus claires: le charançon rouge du palmier, le papillon Paysandisia, le charançon noir de l’agave, la mineuse du yucca (batrachedra enormis), le scolyte Xylosandrus compactus. Question ? dans laquelle des bases de données faut-il souhaiter les suivre.
Selon nous il y a deux voies possibles:
des bases de données plutôt statiques et scientifiques très documentées exemple https://www.sauvonsnospalmiers.fr/eee-fif-especes-exotiques-envahissantes-faune-introduite-en-france.html
des bases de données type lanceur d’alerte sur l’application Smartphone exemple Geoinsecta, Agiir, Vigijardin.
Nous sommes en contact avec les responsables de toutes ces bases pour examiner ensemble leur développement avec l’appui des collectivités locales qui peuvent sans doute contribuer financièrement dans la mesure où toute augmentation des capacités de détection préventive avec la collaboration des citoyens peut constituer une économie considérable pour les finances locales.
Par ailleurs en termes d’efficacité des traitements forcément 100% biologiques à très court terme présentent l’inconvénient d’être de très faible rémanence et donc nécessite une application très précise en localisation et dans le temps. Les applications lanceurs d’alerte peuvent être aussi calibrées pour ça.
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