Premier constat : encore un micro pays Chypre, qui bénéficie des fonds européens pendant que nous croulons sous les difficultés de cette lutte extrêmement difficile… (Exception ; feu le copil azuréen , sur l’utilisation des financements reçus ?? Il n’avait pas de site web ). Le Var département sinistré n’a rien reçu ni même, selon nos informations, demandé. Pourquoi ?
Revenons à l’article. Il évoque les deux ravageurs. Il précise d’emblée qu’il s’agit beaucoup plus d’un problème de management que d’un problème entomologique. Il est obligatoire d’adopter une combinaison d’approche de méthodes qui alimentent des campagnes de prévention en direction du grand public avec tous les moyens de communication moderne.
Avant de lancer un quelconque programme de lutte il faut estimer l’incidence en terme économique du degré d’infestation localisé. Il est recommandé de mettre en œuvre concomitamment toutes les méthodes d’éradication en les combinant entre elles. Privilégier une seule méthode ne conduit pas au résultat souhaité. Avant de décider du remplacement il faut se documenter sur la sensibilité des variétés aux ravageurs.
D’ores et déjà on constate ce qui nous a manqué: une information préalable grand public victime d’une querelle qui paraît bien dérisoire face à l’ampleur de la catastrophe celle du bio contre le phyto.
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